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Article du journal Vanguardia, le 21 octobre 2025

Traduction par Chatgpt de l'article de journal Vanguardia du 21 octobre 2025

Sur la photo

Titre

Le “cartel de l’eau” s’étend à Los Santos : nouvelles inculpations

Sous-titre

De nouvelles accusations sont attendues

Texte latéral

La justice continue de reconstituer le puzzle d’une présumée corruption impliquant d’anciens maires et ex-fonctionnaires de Los Santos, qui auraient profité du besoin en eau des habitants de cette commune pour signer des contrats ne respectant pas les exigences nécessaires à leur exécution.

Texte

Le vendredi 17 octobre, le Parquet général de la Nation a mis en examen l'ancien maire de Los Santos (Santander), Jaime Arenas, pour signature de contrats publics sans respecter les exigences légales et détournement de fonds publics.

Selon l’accusation, en 2016, l'ex-maire aurait commis des irrégularités dans deux contrats et un accord interadministratif au détriment du village.

Ils auraient profité de la « soif » des habitants

À Los Santos, l’eau est disponible 24h/24 en zone urbaine, mais dans les zones rurales — 60% de la population — l’eau n’est livrée que par camions-citernes, parfois tous les trois jours, voire huit jours en période de sécheresse.

Selon le parquet, cette situation aurait été exploitée pour signer des contrats frauduleux, mettant en danger la santé des habitants.

Jaime Arenas aurait signé des contrats pour acheter et transporter de l’eau, mais avec une entreprise inapte. Un accord avec les pompiers prévoyait également des livraisons d’eau, mais une partie n'aurait jamais été effectuée, pour un préjudice estimé à 21 millions de pesos.

Le veilleur citoyen Luis Emilio Cobos a affirmé que l’eau distribuée n’était pas potable et provenait parfois d’une maison pompant dans le fleuve Manco, sans certification sanitaire.

Autres mis en examen

En septembre, d'autres responsables ont été mis en examen :

  • Manuel Enrique Salazar, chef des pompiers
  • Bernardo Almeyda, autre ex-maire
  • Óscar Iván Chaparro, ancien secrétaire à la planification

Selon l’accusation, seulement 2% des fonds destinés à l’approvisionnement en eau auraient été utilisés, tandis que de faux documents justifiaient les livraisons.

Des habitants affirment qu’on leur faisait signer plusieurs feuilles à la fois, et qu’on leur disait que l’eau était potable, mettant leur vie en danger.

Trois contrats similaires auraient été passés entre 2020 et 2023 avec les mêmes irrégularités.

Le dossier doit maintenant être transmis à un juge à Bucaramanga.


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